Michelle Kee
Les graffitis sont devenus une caractéristique omniprésente des paysages urbains, ces mots et images qui s’étalent sur les surfaces publiques et privées servant de point d’entrée à une enquête sur la relation entre l’espace, l’esthétique et la politique. Jusqu’à présent, peu de recherches universitaires ont été menées sur l’art de la rue dans le contexte asiatique, et aucune littérature n’a été consacrée à la scène artistique de rue en plein essor au Viêt Nam. Toutefois, les effets de la mondialisation et de la modernisation sur la région, ainsi que les tactiques employées par les citoyens pour négocier la censure et les restrictions imposées par l’État, ont été étudiés, ce qui place ce thème dans un domaine d’étude plus large. L’objectif principal de cette thèse est donc d’explorer les motivations derrière la création de graffitis et d’art de rue afin de déterminer comment les identités des jeunes (17-30 ans) sont construites et les espaces contestés dans l’espace liminaire postsocialiste de Hanoï, au Viêt Nam.
Type de production: thèses et mémoires
Ville: Hanoi
Année de publication: 2020
Maison d'édition: Thesis Submitted in Partial Fulfillment of the Requirement for the Degree of B.A. in Geography, McGill University
Langue(s) de publication: English
Mots-clés:
Politique de confidentialité
Nous récoltons certaines données pour vous offrir les meilleurs services. Si vous continuez à utiliser ce site, vous acceptez la politique de confidentialité de Publication Tryspaces.