Guillermo Castillo Ramírez
Cet article, basé sur un examen de sources multiples et en particulier de rapports d’organisations non gouvernementales, soutient que la mobilité humaine transfrontalière et irrégulière particulière des Centraméricains dont se sont occupés les refuges et les maisons du Réseau de documentation des organisations de défense des migrants (REDODEM) en 2015 peut être analysée à partir de la catégorie de la migration forcée. L’utilisation de ce concept permet : 1) d’aborder les causes structurelles de la migration ; 2) d’enquêter sur les processus de transit des migrants dans des contextes de vulnérabilité accrue ; 3) de rendre compte de la violence subie par les migrants et du manque de respect de leurs droits humains (au Mexique). En passant en revue diverses études sur le sujet et en particulier les rapports sur la situation des Centraméricains en transit au Mexique par le Réseau de documentation des organisations de défense des migrants (REDODEM), cet article rend compte de la migration forcée des Centraméricains pour une période donnée (2015) et en mettant l’accent sur trois processus. L’un des apports de l’ouvrage est de montrer que les processus de violence ne sont pas généralisés et qu’ils sont surtout concentrés dans certains lieux spécifiques ; en outre, il décrit que les processus de violence sont différenciés en fonction du type de migrant et de l’acteur social ou de l’institution qui commet le délit.
Type de production: articles scientifiques et chapitres
Ville: Mexico
Année de publication: 2020
Maison d'édition: Revista Española de Educación Comparada, vol. 3
Langue(s) de publication: Español
Mots-clés:
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